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Le cheval a des liens historiques avec Sumbanais puisqu’il fait partie intégrante de la vie sur l'île depuis le milieu du 18e siècle. À Sumba, le cheval est appelé ndara et il est perçu comme le double de l’homme. Le cheval n'est pas nommé par le propriétaire puisque cet animal est considéré comme l’égal des ancêtres qui régissent l'univers, il est donc décrits comme « le noble sans nom ».
Le cheval n'est pas seulement un moyen de transport pour le peuple de Sumba, il est le véhicule de la vie qui ne peut être séparé de la vie privée Sumbanaise. De plus, le cheval fait partie de l’identité culturelle de Sumba, car on y élève le Sandalwood, une race de poney typique de la région. Les chevaux sont utilisés à de nombreuses fins : comme la dot la plus importante dans le rituel d’échange de bien lors du mariage, comme offrandes pendant la cérémonie funéraire et comme moyen de montrer son prestige et sa force lors pour des Pasola (un tournoi à cheval qui oppose des cavaliers de différents villages).
Les chevaux représentent également le statut social de chaque famille. Dans la cérémonie funéraire des nobles, il est obligatoire d'abattre les chevaux qui avaient été utilisés par les nobles pendant leur vie. Les chevaux abattus représentent le véhicule spirituel qui amènera le défunt vers l’au-delà. Par conséquent, l'abattage des chevaux est considéré comme un hommage au défunt.